Hôtel du « Pont de la Marne » 

En 1906, le restaurant du « Pont de la Marne »  est tenu par François LACROIX et son épouse Léonie Galasse. Il appartient, en 1910, à Louis DESNOYERS jusqu’en 1920 date à laquelle Monsieur ARTIGES en devient propriétaire. En 1925, celui-ci fait tenir l’établissement par Madame HENOCQUE puis par  Monsieur LEFEVRE en 1926 jusqu’en 1930.

En 1930, M.MARCHANDIN est tenancier de l’hôtel du Pont de la Marne. A cette époque, de riches bourgeois choisissent Isles-lès-Villenoy pour y faire construire leur résidence secondaire et y passer leurs vacances en famille. Le canotage est à la mode, c’est pourquoi M. Marchandin, a la bonne idée de louer des barques.

 

Café « du Pont du chemin de fer »

 

Au lieu-dit « Passage à niveau », », il y avait un hôtel-restaurant qui servait de « cantine aux pêcheurs ». F.J. COMIOT en est propriétaire de 1920 à 1933.

La carte nous dit : « En bordure de la Marne – Site merveilleux »

 

« Au rendez-vous des Pêcheurs »

L’hôtel- restaurant MEGROT était tenu en 1906/1907 par Mathilde FONTAINE, veuve de M.Mégrot puis par Eugène HUET jusqu’en 1914. Il se trouvait rue de l’Olivette.

Les pêcheurs pouvaient venir s’y retrouver et jouer au billard.

 

Maison BOUVIER

Au centre du village, face à la mairie dans la Grande Rue (actuelle rue de Meaux) et proche de l’église, une épicerie-mercerie fait aussi bureau de tabac-café-restaurant et vend même des chaussures comme on peut le lire sur l’inscription. De 1890 à 1906, Arthur BOUVIER tient ce commerce puis sa femme Lucile née Pépinot le tiendra jusqu’en 1921.

 

La famille COURTOIS devient propriétaire de ce commerce de 1922 à 1927.

Une rue d’Isles –  les – Villenoy porte le nom de cette famille.

La maison fait toujours café-épicerie-mercerie-tabac mais possède maintenant une ligne téléphonique : N°26.

 

Maison TREMOUILLES

Toujours dans la Grande Rue (rue de Meaux), quelques maisons plus loin, le café-restaurant est tenu par la famille TREMOUILLES vers 1910/1912. Auguste Trémouilles est dénommé limonadier dans les recensements de cette époque.

 

Extraits du livre de la SHCE  « Les cafés dans l’ancien canton de Claye »